En 1913, dans une petite ville de
garnison autrichienne, Anton Hofmiller, jeune officier de cavalerie, est invité
dans le château du riche Kekesfalva. Au cours de la soirée, il invite la fille
de son hôte à danser, ignorant qu'elle est paralysée. Désireux de réparer sa
maladresse, Anton accumule les faux pas qu'il attribue à ce que Stefan Zweig
appelle l'« impatience du cœur ».
J’avoue, je ne suis pas tombé sous
le charme de ce monde de garnison et de bourgeoisie de la vie de caserne
provinciale du début du 20 éme siècle.
Tout est beaucoup trop lent et contemplatif.
Malgré tout, l’analyse des sentiments est excellente. Amour, pitié,
courage, lâcheté, tout est décortiqué avec justesse.
Un sentiment partagé sur ce
roman que je n’ai pas dévoré.
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