« Il déambule à travers les pièces vides, contemple l’arbre qui,
dans sa laideur dépouillée, évoque un squelette, cela doit être difficile de
tout perdre ainsi chaque année, sauf que l’aulne refleurit chaque année tandis
que nous, nous nous contentons de nous déplumer, chaque fois un peu plus »
Zeruya Shalev
Ce qui reste de nos nuits
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