Le maître entre en sa demeure,
Et la parole s’évanouit.
La raison s’impose,
Et le rêve se brise.
Aucune joie,
Sans sacrifice.
Au soleil,
Succède la lune.
Point de lumière,
Sans noirceur.
La mort vient,
Et la vie retrouve un sens.
Dans mes flots libatoires,
Je me noie
Dans mes fumées illicites,
Je me brûle
Dans mes paradis chimiques,
Je m’ignore
Dans mes écrits,
Je me rêve
Dans mes paroles,
Je me fuie
Dans mon esprit,
Je me perds
Dans ma raison,
Je me désespère
Dans ma vie,
Je m’essouffle
Dans ma nuit,
Je trouverais le repos.
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