Le suicide, un tabou …
Ce soir devant la télé je me pose la question, pourquoi ne voir
dans le suicide que la conséquence d’une maladie ?
Choisir le moment de finir sa vie n’est il pas aussi la plus grande
preuve d’indépendance ?
Loin de moi l’idée de faire l’apologie du suicide, mais je fais
partie de ses gens qui souhaite pouvoir choisir le moment et la manière de
choisir de mettre fin à cette succession de jours.
Dans d’autre civilisation que la notre le suicide n’est pas si tabou,
et n’est pas considéré comme une maladie.
Bien entendu, il faut soigner la dépression. Bien sur il faut
tendre la main à la personne qui a besoin de toi. Oui, il faut écouter sans
juger. L’envie de mourir ne peut jamais être considéré comme futile, et ne pas
l’entendre est en soit criminel.
La dépression peut tous nous concerner dans notre vie, et
heureusement on peut s’en sortir.
Dans la dépression le suicide n’est jamais qu’une fin accidentelle.
Nous nous fixons tous des buts dans la vie. Ces choses futiles ou
essentielles qui nous font nous lever le matin. C’est notre réponse au
« sens de la vie ». Que faire le jour ou nous avons atteint ces
buts ?
En trouver d’autres, c’est la réponse habituelle. Mais le jour ou
ton état physique ou mental ne le permet plus. Pourquoi n’a-t-on pas le droit
de choisir sa mort et pourquoi cela doit-il être considéré comme une
maladie ?
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